lundi 17 novembre 2008

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La Bible de la liturgie -


L'Évangile au quotidien

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Une œuvre splendide que je recommande
pour nous faire tomber en amour avec la Parole de Dieu.
Un voyage au cœur du temps et de l'espace.

Des outils indispensables à notre réflexion




Une Bible ouverte




Ici une Parole pour vous aujourd'hui



Et voici un dictionnaire de synonymes pour nos méditations

Encore toute une gamme au goût de chacun


La Bible en français courant+ un moteur de recherche intégré


Prier avec des psaumes et des hymnes et pourquoi pas les partager...

Les lectures du jour
sur Prions en Église

La Parole une source






d’aprés Saint Ephrem de Nisibe (1Vème-Vème siècles) Qui donc est capable de comprendre toute la richesse d’une seule de tes paroles, Seigneur? Ce que nous en comprenons est bien moindre que ce que nous en laissons, comme des gens assoiffés qui boivent à une source. Les perspectives de ta parole sont nombreuses, comme sont nombreuses les orientations de ceux qui l’étudient. Le Seigneur a coloré sa parole de multiples beautés, pour que chacun de ceux qui la scrutent puisse contempler ce qu’il aime. Et dans sa parole Il a caché tous les trésors, pour que chacun de nous trouve une richesse dans ce qu’il médite. La parole de Dieu est un arbre de vie qui, de tous côtés, te présente des fruits bénis elle est comme ce rocher qui s’est ouvert dans le désert pour offrir à tous les hommes une boisson spirituelle. Selon l’Apôtre,”ils ont mangé un aliment spirituel, ils ont bu à une source spirituelle.” Celui qui obtient en partage une de ces richesses ne doit pas croire qu’il y a seulement dans la parole de Dieu, ce qu’il y trouve. Il doit comprendre au contraire qu’il a été capable d’y découvrir une seule chose parmi bien d’autres. Enrichi par la parole, il ne doit pas croire que celle-ci est appauvrie ; incapable de l’épuiser, qu’il rende grâce pour sa richesse. Réjouis-toi parce que tu es rassasié, mais ne t’attriste pas de ce qui te dépasse. Celui qui a soif se réjouit de boire, mais il ne s’attriste pas de ne pouvoir épuiser la source. Que la source apaise ta soif, sans que ta soif épuise la source. Si ta soif est étanchée, sans que la source soit tarie, tu pourras y boire à nouveau, chaque fois que tu auras soif. Si, au contraire, en te rassasiant, tu épuisais la source, ta victoire deviendrait ton malheur. Rends grâce pour ce que tu as reçu et ne regrette pas ce qui demeure inutilisé. Ce que tu as pris et emporté est ta part ; mais ce qui reste est aussi ton héritage. Ce que tu n’as pas pu recevoir aussitôt, à cause de ta faiblesse, tu le recevras une autre fois, si tu persévères. N’aie donc pas la mauvaise pensée de vouloir prendre d’un seul trait ce qui ne peut être pris en une seule fois ; et ne renonce pas, par négligence, à ce que tu es capable d’absorber peu à peu. Saint EPHREM

Un verre d'eau fraiche


Je vous donne sous l'image, le lien d'un groupe ami qui m'a beaucoup aidé et que je considère comme un verre d'eau fraiche. Vous pouvez même consulter presque entièrement les livres sur le site. J'ai vécu des expériences spirituelles très fortes plus particulièrement avec le livre #1 qui sont des volumes aussi solidement enraciné dans la Parole de Dieu.

Notre expérience:

Mon mari et moi, nous lisions dans ce livre le soir avant de nous endormir nous nous donnions l'objectif alors de un numéro par soir et un soir après une journée horrible, après la lecture habituelle, mon mari s'est comme endormi sauf que je l'entendais parler comme dire oui! et lorsque qu'il est revenu à lui il m'a dit qu'il s'était seulement demandé comment ça devrait être plaisant de se faire prendre dans les bras du Seigneur, et il s'est senti prendre par Lui. Et moi environ un mois plus tard après une journée tout aussi horrible, je ne désirait même pas vraiment ce soir là, de faire ma lecture et la termine même à la hâte, mais ce soir là alors que je me demandais même comment j'allais arriver à m'endormir tellement que j'étais tendue et là je suis comme tombée endormie alors que j'entendais comme un tonnerre lointain et comme je prenais conscience qu'il faisait comme des bruits de pas je me suis mise à dire eh! mais c'est le Seigneur et en disant cela les pas se sont mis à courir et la terre tremblait sous ses pas et je disait à tout le monde vite dépêchez vous de vous mettre à genoux c'est le Seigneur. Comme je revenais à moi j'avais les larmes aux yeux et comme j'entendais encore le tonnerre lointain je demande à Michel s'il entendais, mais Lui m'a dit que non.

Je sais que beaucoup de personnes on vécu des chose spéciales avec ce livre, mais avec le Seigneur comme tout ce qu'Il cré est unique, et aucune de nos histoires ne sont semblable. Chaque personne est une histoire sacrée.

Lectio divina


"Mettons un frein à l'effervescence des pensées qui nous angoissent et qui montent en notre cœur comme une eau en ébullition, en lisant les écritures et en les ruminant incessamment... et nous en serons libérés" Pachôme p.45

"Il n'est donc pas tellement nécessaire de chercher les résonances que la Parole avait au moment ou Elle fut écrite, mais plutôt de l'écouter comme si elle était prononcée aujourd'hui pour la première fois. De cette manière seulement, la lecture est vivante, porteuse d'un message, source de créativité; ainsi seulement aurons-nous conscience que Dieu nous parle aujourd'hui par le Christ et serons-nous capable d'adhérer à cette voix, de l'accueillir et de la retenir."p.55

"Demande l'Esprit, tu recevras la capacité de lire, cherche dans la lecture, tu trouveras dans la méditation; frappe par la prière, tu trouveras dans la contemplation."

(endos de la couverture)

La lectio divina n'est donc pas une spécialité de moines; elle est à toute l'Église; elle est une condition nécessaire pour que la Parole fructifie en nous.

Ne nous faisons pas d'illusion: celui qui se contente pour vivre de la Parole de Dieu proclamée liturgiquement est semblable au terrain de la parabole qui accueille la semence, mais qui ne la fait pas fructifier. Les oiseaux vont manger la semence posée sur lui, terrain aride; ou bien des épines vont l'étouffer, ou encore la chaleur va dessécher les jeunes pousses.
Jean Chrysostome y insiste avec grande vigueur et interpelle les fidèles en ces termes: "D'aucuns parmi vous disent: je ne suis pas moine, j'ai une femme des enfants et les affaires de mon foyer dont j'ai la charge". Mais c'est là ce qui détruit tout: tu estimes la lecture des divines Écritures réservé aux seuls moines, alors qu'elle te serait bien plus nécessaire qu'à eux. Qui vit au milieu du monde et y recoit chaque jour des blessures a bien plus grand besoin de remèdes. Aussi y a t'il encore un plus grand mal que de ne pas lire, c'est de croire la lecture vaine et inutile." Et de conclure finalement qu'une telle manière de vivre sans lectio est une "pratique inspirée par satan".

La Parole entendue doit parler sans cesse, et pour cela elle doit être gardée et réveillée dans le cœur. Comment pourrait-il y avoir en nous une vie spirituelle si la Parole de Dieu n'y respire jour et nuit?
Tiré du livre "Prier la Parole, par Enzo Bianchi
pp36,37

Le oui qui change le monde


La Parole nous propose un plan que nous ne pouvons atteindre seul, mais avec Jésus tout est possible. Notre oui à nous laisser transformer peut faire toute la différence. J'ai trouvé cet écrit qui le confirme; aussi suis-je tombée en amour avec ce texte qui n'est assurément pas constitué de paroles vaines et qui plutôt vont dans le même sens que la Parole de Dieu. Aussi, j'ai eu le goût de vous en faire part. Vous pourez savourer le restes de ces écrits sur le lien en cliquant sur l'image.


Bénédiction en Jésus,

Sylvie

Le «oui» qui change le monde


Avec mon cœur d’enfant, et me laissant inspirer par l’Esprit Saint, je m’adresse à vous pour formuler le vœu que nous devenions, ensemble, de meilleurs instruments entre les mains du Père afin de Lui permettre de bâtir, plus rapidement, cette Nouvelle Société d’Amour à l’intérieur de Son Église renouvelée par Son Amour.
Vous êtes-vous déjà demandés comment il se fait que nous n’ayons pas encore réussi à vivre ce que Jésus est venu nous enseigner, il y a deux mille ans? «Aimez-vous les uns les autres» Il est allé jusqu’à mourir sur la Croix pour que nous y arrivions. Nous sommes pourtant nombreux à désirer vivre dans une société où seraient bannies la haine, la vengeance, la colère, la violence, la guerre; dans une société où il n’y aurait que l’amour, la compréhension, la confiance, l’entraide, la miséricorde…
C’est sûrement ce que désire la totalité de la population sur la terre et ce qu’ont désiré les générations qui nous ont précédés. Comment se fait-il alors que nous n’arrivions pas à vivre ce que nous voulons et ce que Dieu veut certainement puisqu’Il a envoyé Son Fils pour nous enseigner le chemin? À cette grande question, je vais tenter une petite réponse. Elle n’a rien de bien scientifique. Si j’utilise les chiffres, c’est simplement pour exprimer plus clairement ce que je comprends et crois.
Voici comment je pose le problème: sur 1000 personnes qui désirent vivre dans une Société d’Amour, 90% (soit 900) croient que cette Société d’Amour doit se construire à partir des autres… Si mon mari changeait, si ma femme changeait, si nos enfants changeaient, si mes parents changeaient, si nos voisins changeaient, si nos patrons changeaient, si nos employés changeaient, etc.
Ils désirent que les autres changent pour pouvoir vivre dans une Société d’Amour et ils consacrent leur énergie à vouloir changer les autres. Comme ils n’y parviennent pas, ils deviennent agressifs et violents; ils en arrivent même à faire la guerre pour bâtir l’amour.
Je viens donc de perdre 900 personnes sur 1000 qui ne contribuent pas à bâtir cette Société d’Amour qu’ils désirent pourtant. Il en reste 100 qui ont compris qu’une Société d’Amour doit se construire en s’impliquant eux-mêmes… et ils ont raison.
Sur ce nombre, il y en a encore 90% (soit 90) qui croient y arriver par l’action, en créant une multitude d’œuvres pour répondre aux nombreux problèmes de notre société… et ils font beaucoup de bien.
Ils réussissent à atténuer beaucoup de souffrances et à aider beaucoup de gens sans toutefois pouvoir parvenir à cette Société d’Amour. Pourquoi? Parce que les problèmes sont trop nombreux et se multiplient à cause de la corruption de notre société où la pollution des cœurs et des esprits est bien pire que la pollution de l’air et de l’eau.
C’est un peu comme si nous vivions dans une petite ville où se trouve une grosse usine qui pollue. Lorsqu’on constate que les plantes, les fleurs et les arbres dépérissent, on crée des associations en faisant appel à des spécialistes pour pallier à la situation.
Ensuite, on doit faire la même chose pour les maisons qui se détériorent, pour les animaux qui deviennent malades et pour les personnes dont la santé est menacée, sans jamais arrêter la pollution de l’usine. Même avec la meilleure volonté du monde, beaucoup de dévouement et de compétences, les problèmes ne font que s’amplifier.
Il en reste donc 10 sur les 100 qui ont compris qu’une Société d’Amour doit se construire par des êtres qui sont pleins d’Amour… et ils ont raison. C’est la transformation de l’être qui est la solution.
Sur ce nombre, il y a encore 90% (soit 9) qui veulent se transformer par leurs propres moyens, et ils n’y arrivent pas parce qu’ils sont des êtres créés par Dieu et seul Dieu a un tel pouvoir.
Il en demeure un sur mille qui donne son «oui» à se laisser transformer par le Père, comme Il le veut, quand Il le veut, pour le genre de transformation qu’Il veut.
J’ai la certitude que c’est sur ce très petit nombre que va se construire cette Société d’Amour, dès le début du troisième millénaire.
Regardons un peu notre histoire. Ce «oui» total à Dieu dont je parle, c’est le OUI de Marie qui a changé la face du monde depuis deux mille ans; c’est le «oui» des premiers apôtres, fondateurs de notre Église; c’est le «oui» des saints et saintes, des martyrs qui ont permis à notre Église de survivre jusqu’à nous et d’être renouvelée à différentes époques.
Plus près de nous, pensons au «oui» du Frère André, de Mère Teresa et de Jean-Paul II.
Ce «oui» capable de changer le monde, pourquoi ne serait-il pas le tien, le mien, et, finalement, le nôtre tous ensemble?


Léandre Lachance Sherbrooke, Qc

Source d'inspiration: Un moyen

Pour méditer la Parole,

quoi de mieux que de la répéter.

Si on manque d'inspiration pour la partager,

nous pouvons suivre l'exemple de Mozart

et Haydn qui disaient leur chapelet

quand l'inspiration leur manquait.

http://www.scaaweb.org/CHAPELET%20MEDITE%20RealPlayer.php

Encore utile au partage

Le partage se fait en réponse, à partir des textes déjà proposés, on procède en sélectionnant le bout de texte la phrase ou le mot qui nous frappe et qui nous révèle quelque chose de Dieu . C'est à partir de ce morceau du texte qu'on élève, que nous fournirons aux autres une plus grande possibilité d'y voir plus clair en les orientant, sur la parole de Jésus, qui a jeté plus de lumière en vous. C'est comme faire un zoom par la grâce de lumière que Dieu nous donne et vous serez peut-être encore surpris de voir que celui qui en a fait un, vous ammènera à voir des chose que vous n'avez jamais vu vous même et que peut-être à cause de ce que l'autre vous aura fait voir, que peut-être vous lui ferez voir aussi, ce qu'il n'a peut-être jamais vu. Ainsi les petites cellules du Corps du Christ que nous formont, se transmettent mutuellement la vie que Jésus veut nous donner par sa parole parce qu'Il peut circuler librement entre nous par son Esprit.

Utile pour mieux partager

Réflexion pour nous ammener à une meilleure communion avec la parole de Dieu.
Tout d'abord, se rappeler que Jésus, Parole incarnée du Père, est bien une personne, donc la Parole, n'est pas une idée, un concept, pour que nous le recevions au niveau de nos tête, ou que nous en discutions froidement.
Puisqu'elle est une personne et non une idée et un concept à débattre, nous devons nous appliquer à le recevoir comme tel, en Lui ouvrant notre coeur dans le silence. Cela ne doit pas être un automatisme, parce que une rencontre de personne à personne n'est jamais pareille, tout simplement parce que si Dieu Lui-même ne change pas pace qu'il est déjà dans l'éternité, on doit penser aussi qu'il est l'éternel présent et qu'il nous parle au quotidien qui lui, est souvent différent, comme nous d'ailleur. À noter que j'ai dit qu'il parle au quotidien, dans le moment présent. Je crois que la Parole doit être accueilli avec le même recueillement qu'on peu le faire pour communier je pourais dire physiquement avec du pain et du vin si on veux que la Parole touche notre coeur. Lorsque je prend le temps de déguster un plat ou même pour manger en général on envale pas tout rond, mais on en prend des petites bouchées, c'est un peu cela qu'on fait lorsqu'on lis et relis les textes, s'arrêtant davantage à une phase ou à un mot qui fait monter un écho en mon coeur. C'est de cette manière qu'on est appelé à partager en se livrant mutuellement les écho qui sont montés de nos coeurs. Chacun portant une petite lumière au fond de lui, dans le rassemblement et le partage, cette lumière est multiplié et profite à chacun. Cette lumière est d'autant plus fortifié par la présence de Jésus qui nous a promis que là ou deux ou trois sont réunis en son qu'il serait au milieu d'eux.

Bénidiction à tous en Jésus
Sylvie